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Showing 2 results for M. Heidegger


Volume 16, Issue 1 (3-2025)
Abstract

Cet article présent, nous ne projetons en aucune façon d'établir ou de définir ce qu'est l'art, dont l'œuvre d'art en ontologie. Ce n'est pas notre préoccupation aujourd'hui, et non plus davantage de la plupart des artistes contemporains. À la recherche d'une ontologie bien particulière sur l’œuvre d’art contemporain, Roger Pouivet, le philosophe contemporain français, l'appelle « l'ontologie appliquée ». Il s’agit de considérer l'œuvre en tant que telle, sans se préoccuper des catégories fondamentales qui la possèdent. À ce stade, il paraît nécessaire de parler du changement de paradigme dans le champ d’arts plastiques, qui résulte de l'apparition des œuvres des textes écrits ou oraux. 
En ce qui concerne le concept de « Zugganzes » de ’Heidegger, il faut bien comprendre, quoi qu'il en soit, le cumul des éléments nécessaires jusqu’à ce que l’établissement d’un système s’achève. Cela veut dire que pour un processus de créer une œuvre d'art contemporain il explique qu’à la fois chaque élément a son rôle clé, même indispensable, et une mission pour compléter le rôle des autres éléments.
Au fur et à mesure de cet article, nous répondrons aux questions de recherche : 1) Comment peut-on mettre en avant un processus de détermination d'une œuvre d'art qui s'enrichit des textes écrits ou oraux, en époque contemporaine ? 2.) Pourquoi et pour quelle raison a-t-on choisi de mettre en lien les deux concepts de « Zugganzes » et de l'hypothèse de « l'ontologie appliquée » dans ce travail de recherche ?
Cette recherche essaye de nous montrer que: les œuvres d'art contemporaines qui sont considérées comme des textes visuels enrichissent des textes écrits ou oraux. En effet, cet acte vise à attirer l'attention des spectateurs en tout temps et en tous lieux. À la fin, on comprendra qu’il est possible de créer visuellement des textes symboliques en pratiquant simultanément les textes écrits ou oraux comme des éléments visuels et en profitant de leurs contextes. 
 

Abbas Manoochehri,
Volume 27, Issue 1 (12-2020)
Abstract

In his Nichomachean ethics, Aristotle has introduced Friendshiop (philia) as a civic virtue higher than justice. After Aristotle, Latin and Iranian thinkers articulated on the notions of “Amiticia” and “Dusti” as equivalent to Aristotel’s philia. In the modern times, while justice was regarded as legal system protecting individual rights, Friendship was reduced to a personal concern and was confined to private sphere of life. In recent time once again friendshiop has entered the intellectual melieu both in Iranian and German culture.  In this paper three models of Friendship, namely Phronetic, Erfanic, and Phenomenological, are analysed, and, according to what these models pertain to, it is suggested that as regards convergence, it can be brought about by Friendship more than by Justice.

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